Baguettes de sourcier en radiesthésie moderne

Recherches et analyses avec des baguettes classiques, parallèles et spéciales

La baguette classique (ou fourchue) est le plus ancien instrument de radiesthésie et son maniement procure des avantages dont tous les radiesthésistes devraient pouvoir tirer profit, dans les recherches sur le terrain ou sur plan.

Le maniement de la baguette procure une sensibilité plus complète qu'au pendule.

Quand la baguette bouge, l'opérateur ressent mieux, de façon plus intense, plus vive, les forces extérieures qui se dégagent du sous-sol. Il sent une sorte d'induction, comme un "courant" qui se renforce à l'approche de ce qu'il cherche et qui déclenche l'intuition en même temps que les réactions de la baguette. Il craint moins l'autosuggestion, il est plus assuré de son fait.

Les baguettes parallèles s'adressent à celui qui commence l'étude de la radiesthésie. La plupart des gens, même les enfants, peuvent se servir correctement des baguettes parallèles, sans guère d'apprentissage, et en obtenir des résultats pratiques dès les premiers essais.

Ces baguettes parallèles sont beaucoup plus faciles à utiliser que les baguettes classiques et permettent toutes les recherches.

Vous apprendrez à manier les différents types de baguettes et à vous en servir dans les multiples cas où vous auriez intérêt à les utiliser.

Biographie des auteurs :

Jean-Louis-Félix, dit Félix, et son frère Guillaume-Jean, dit Willy Servranx, étaient belges et habitaient Bruxelles. Willy, l'aîné, de santé fragile, secondait Félix dans tous ses travaux.

Félix fut directeur de publicité chez Fabelta. À eux deux, ils mirent sur pied le Bureau Servranx, situé 11, rue Fossé aux Loups à Bruxelles, puis au 59, boulevard Anspach à partir de novembre 1965.

C’était un bureau de publicité : études de marché, publicité commerciale, cours de vente par correspondance, sélection de personnel, renseignements sur reprises ou cessions de commerce, etc. Telles étaient les activités de ce bureau.

Mais les frères Servranx, passionnés par la radiesthésie, ont également lancé une revue spécialisée dans ce domaine : La Radiesthésie pour tous ou L.R.P.T. La revue est née en janvier 1946 et le dernier numéro date d'octobre 1967. À leur actif des consultations, des organisations de rencontres, des conférences et de nombreux livres et dossiers :-

- Vos débuts en radiesthésie,

- Lecture du caractère au pendule

- Méthode expresse de magnétisme personnel, signée du pseudonyme Apollonius,

- Initiation à la radiesthésie médicale, signée W. Herrinckx, autre pseudonyme,

- La radiesthésie appliquée aux affaires,

- Matérialisations radiesthésiques.

Il y avait aussi les cours :

- Initiation à la radiesthésie en 12 leçons

- Cours pratique de radionique et d’action à distance

Deux cours complets qui se donnaient par correspondance et sont actuellement disponibles sous forme d’album.

Enfin, les dossiers EXDOCIN : EX-périences, DOC-umentation et IN-structions sur les sciences nouvelles intéressant les radiesthésistes : tel est le titre complet qu’avaient donné F. et W. Servranx à cette série de dossiers mensuels, publiés de juin 1957 à septembre 1966. Les frères Servranx ont fait appel aux radiesthésistes les plus connus de Belgique et d’ailleurs pour constituer des groupes de recherche en radiesthésie. Les dossiers EXDOCIN sont donc le produit de ces recherches compilées, complétées par les frères Servranx qui les ont entièrement rédigés.

Parmi les sujets abordés : la médecine astrologique, la graphologie radiesthésique, comment se magnétiser soi-même, applications commerciales de la radiesthésie, la chance et ses techniques, comment fabriquer des remèdes artificiels, comment influencer les gens, la grande pyramide et ses influences, les clefs de la magie, comment accroître sa sensibilité radiesthésique, les mots qui guérissent, etc.

En 60 ans, la renommée des Exdocins n’a cessé d’augmenter depuis lors. En effet, ce sont des dossiers clairs, complets, facilement lus et que l’on peut mettre en pratique immédiatement. Il va sans dire que les exercices pratiques ont été expérimentés et dûment contrôlés par les frères Servranx.

C’est une documentation de grande valeur, qui n’a son équivalent que dans les initiations secrètes de certains groupements très fermés.

D’une activité débordante, les frères Servranx, célibataires endurcis, consacraient tout leur temps à la radiesthésie. Le plus jeune, Félix, est décédé le 30 octobre 1966, après une courte maladie. Son frère, alors atteint de paraplégie, lui survécut un an, il mourut le 13 novembre 1967.