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Le karma de la profession

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Le karma de la profession

Auteur : STEINER Rudolf
Aux éditions : Triades
N° ISBN : 9 782 852 482 647
Prix : 25,00 €
Disponibilité : en stock
 

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Résumé

Note de l’éditeur :

 

Steiner traite ici de nombreux aspects du thème de la profession.

 

- Que signifient, sur le plan karmique, les forces que l’homme consacre à son travail dans un monde dominé par la technique et la spécialisation ?

- Comment choisir un métier à notre époque ?

 

Les idées qu’il développe au long de ces réflexions sont pour le moins inattendues.
 

Sommaire de l’ouvrage :

 

- La vie de Goethe, phénomène spirituel

- Le rapport de l’activité créatrice de l’homme et du travail professionnel avec l’ensemble de l’évolution de la terre

- La transformation de la vie professionnelle

- Le travail professionnel, germe de l’évolution du monde

- Profession et fonction

- La psychanalyse

- Le destin

- Les impulsions héréditaires et celles venues des vies antérieures

- L’action des confréries occultes

- Mme Blavatsky

- Ku Hung-Ming

- La vie de Galilée

- La dédivinisation du verbe

- La technique moderne, une magie démoniaque.

 

Sommaire détaillé :

 

Première conférence - Dornach, novembre 1916

 

- Goethe, une personnalité caractéristique de la cinquième époque de civilisation postatlantéenne.

- Sa vie comme «  phénomène spirituel  »  : la maison parentale, l’enfance et la jeunesse.

- Les études à Leipzig (rencontres de Gottsched et de Gellert).

- Maladie et étude d’écrits mystiques et occultes.

- Années d’études à Strasbourg, rencontres de Herder et de Jung-Stilling.

- Goethe l’avocat.

- La genèse du Götz von Berlichingen.

- L’époque de la sensibilité  ; le travail sur Werther, un processus d’autoguérison.

- Goethe, ministre à Weimar. Le Urfaust.

- Madame de Stein et Iphigénie.

- Les conditions weimariennes et le Tasse.

- Goethe le scientifique  ; l’os intermaxillaire.

- Le voyage en Italie, «  renaissance de l’âme de Goethe  »  ; élaboration du style classique.

- L’amitié de Schiller.

- Le traitement du problème de la liberté dans les Lettres esthétiques et dans le Conte.

- Le discours philistin de Du Bois-Reymond  : «  Goethe sans fin  ».

 

Deuxième conférence - Dornach, novembre 1926

 

- La considération de questions karmiques par rapport à la vie de Goethe (le danger d’un lien trop rapide entre la cause et l’effet dans ce domaine).

- L’harmonie de l’individualité de Goethe avec les événements de l’époque.

- Les exigences de l’époque, leur indépendance par rapport à l’individualité (exemples  : la découverte de l’Amérique, le Faust).

- Les périodes résultant de différentes impulsions dans la vie de Goethe.

- La puissante force d’âme en Goethe et en Schiller et son épanouissement différent.

- L’importance karmique de la maladie de Goethe  : le dégagement du corps éthérique et l’impulsion de connaissance suprasensible.

- La transformation des conditions biographiques de Goethe en œuvre d’art, sur la base de son isolement intérieur du monde, à l’exemple de sa relation avec Frédérique Brion.

- Les vues profondes dans le Faust, résultat de cet isolement  ; la difficulté de comprendre les temps passés, à l’exemple de Sophocle et de ses drames.

- L’activité de ministre de Goethe, un sommeil partiel de l’âme.

- Son réveil en Italie, lié à sa conception globale de la nature  ; sa présentation dans le Faust.

 

Troisième conférence - Dornach, novembre 1916

 

- À propos de la question de la différence entre les personnalités éminentes et le reste de l’humanité.

- Les trois parties du système nerveux  ; leurs liens avec les éléments constitutifs de l’être humain pendant la veille et le sommeil  : cerveau – corps éthérique (lien plus étroit pendant la veille)  ; moelle épinière – corps astral, et système ganglionnaire – je (lien plus étroit pendant le sommeil).

- Lien plus fort avec le système ganglionnaire et de la moelle épinière pendant la veille, conséquence du corps éthérique dégagé chez Goethe.

- À propos de performances apparentes de l’entendement chez les animaux  ; la Psychologie comparée de Carus.

- Le lien avec la sagesse universelle  : chez l’animal, grâce au corps physique  ; chez l’homme, grâce au corps éthérique.

- Le «  ressentir de rêve avec l’environnement  » de Goethe, basé sur sa constitution particulière  ; la transformation de ces expériences dans ses œuvres, à l’exemple du Faust.

- L’immersion inconsciente de l’homme dans l’environnement spirituel, de jour, une base du travail professionnel.

- Ce qui est produit dans le travail professionnel  : un germe de ce qui ne sera complètement développé que sur Vulcain  ; les créations, fruits d’une évolution commencée sur Saturne, à l’exemple de l’activité de Jakob Böhme, cordonnier et philosophe.

 

Quatrième conférence - Dornach, novembre 1916

 

- Sonder la volonté des dieux comme base de la conduite des hommes des époques antérieures.

- Le chaos actuel, conséquence de l’émancipation de l’homme à l’égard de la volonté du cosmos.

- La création d’un premier germe de Vulcain par l’activité professionnelle.

- La spécialisation croissante des professions, une nécessité de l’évolution.

- Le lien du travail professionnel avec la vie émotive autrefois, le détachement de la vie professionnelle de l’intérêt humain aujourd’hui.

- Ce qui est produit par le travail professionnel, un point de départ de l’incorporation ­d’entités élémentaires.

- La nécessité de représentations spirituelles concrètes comme pôle opposé au travail professionnel.

- Des répercussions croissantes de la volonté et de la mentalité de l’individu sur ce qu’il a produit.

- La future transformation d’«  émanations  » humaines en force motrice.

- La dissolution des liens humanitaires, l’apparition de concurrence et d’appât du gain due au travail professionnel  ; la science de l’esprit comme contrepoids.

- Les dangers de l’évolution purement extérieure.

 

Cinquième cnférence - Dornach, novembre 1916

 

- La différence à faire entre profession et fonction  ; les influences ahrimaniennes sur le karma de la profession.

- À propos de la prétendue «  sélection des meilleurs  ».

- Exemples tirés de Faust II de l’action de la force méphistophélique dans la vie de l’humanité.

- Les erreurs résultant de l’étude scientifique de la vie psychique, à l’exemple de la recherche d’une «  vase animale des profondeurs  » de l’âme, en psychanalyse.

- Tenir compte des vies terrestres successives, une condition préalable au subconscient.

- L’«  autocorrecteur  » en l’homme  ; son activité à l’exemple d’une vie du rêve (tiré du roman Auch Einer, de F. Th. Vischer).

- Le karma, un archet de violon jouant sur les quatre «  cordes  » des éléments constitutifs de l’être humain.

- La répercussion de la profession de l’incarnation précédente dans l’organisation corporelle du deuxième septénaire (élaboration du corps éthérique).

- Le jeu entre les forces modelantes du corps éthérique et les forces transformatrices du corps astral, expression de l’action du karma de la profession.

- Les répercussions du karma des relations d’une vie dans le corps physique modelant la situation de vie de l’existence suivante  ; le Je, force restructurant la situation de la vie.

 

Sixième conférence - Dornach, novembre 1916

 

- À propos des circonstances de la vie importantes pour l’évolution d’une individualité, «  fautives  » seulement d’apparence, à l’exemple de la critique par une biographe de F. Th. Vischer concernant des manquements dans son éducation scolaire.

- La critique, une cruauté dissimulée.

- Les débuts d’une compréhension de l’époque de civilisation actuelle dans les écrits du technicien Max Eyth  ; son approche des grandes questions liées au destin  ; des exemples tirés de ses œuvres.

- Les descriptions d’un juriste promu directeur de théâtre (Max Burckhard), exemple de la vie moderne actuelle.

- Alfred baron de Berger et sa nouvelle, Hofrat ­Eysenhardt  : l’aspiration d’un homme moderne à l’accès aux mystères de l’existence. ­

- L’observation symptomatique du monde et de la vie, une condition préalable à l’étude du karma, du destin.

- L’aspiration de communautés occultes concernant l’étude du caractère humain et le fait d’en garder le secret  ; leurs influences sur des événements publics.

 

Septième conférence - Dornach, novembre 1916

 

- La question de l’hérédité et les septénaires.

- Les impulsions de la vie prénatale ainsi que de la vie précédente et la voie vers la profession nouvelle.

- Le déroulement cyclique de l’évolution universelle.

- La nécessité croissante d’une relation consciente avec le monde et avec l’esprit du temps.

- Les «  idéaux  » de l’époque de civilisation actuelle  : le bourgeois (Ouest) et le pèlerin (Est).

- Admettre les vies terrestres successives  : la condition d’une véritable compréhension de la vie.

- Des exemples d’une critique perspicace de l’époque  : les affirmations de l’Anglais J. St. Mill et du Russe A. Herzen concernant ­l’apparition d’une «  conglomerated mediocrity  » et le chemin de l’Europe vers l’esprit chinois  ; Mérejkovski.

- Les aspirations de sociétés occultes  : rétention de la science de l’esprit, «  embobiner  » les humains par des concepts nébuleux, à l’exemple de «  secrets numériques  » apparents.

- Le combat entre les sociétés occultes, illustré par la vie de H-P Blavatsky. L’activité cachée de confréries occultes à l’extérieur  ; des avertissements concernant les assassinats de François-Ferdinand et de Jaurès.

- Aspirations de la Theosophical Society  ; Annie Besant.

- Les enseignements de Kou Hong Ming  ; l’«  esprit chinois de l’Europe  », centre d’intérêt de courants occultes.

- Les confréries occultes et l’Église romaine  ; l’encyclique du 8.12.1864.

 

Huitième conférence - Dornach, novembre 1916

 

- L’étude de multiples aspects des choses, une condition prélable pour saisir la vérité.

- Description de la biographie de Galileo Galilei de deux points de vue  : 1° la destinée personnelle  ; sa signification pour la vie entre la mort et une nouvelle naissance. 2° Récit de ce qui est signifié dans l’histoire par le nom de «  Galilei  »

- La question de l’hérédité physique, considérée à l’aide de prédispositions héréditaires égales et des conditions héréditaires de la famille des musiciens Bach.

- Les conceptions matérialistes du XIXe siècle, à l’exemple du livre de Leblais, Matérialisme et spiritualisme, à propos de la prétendue équivalence entre l’âme d’un animal et celle de l’homme  ; une citation concernant des actes apparemment religieux d’animaux.

- La description des répercussions sociales du matérialisme dans le roman Der rechte Liebhaber des Schicksals d’Albert Steffen.

 

Neuvième conférence - Dornach, novembre 1916

 

- Les reproches des théologiens modernes concernant l’enseignement sur les hiérarchies.

- Étude de la représentation de Dieu courante aujourd’hui  : interpréter son propre Angelos comme Dieu universel  ; assourdissement des âmes et substitution de l’Angelos par l’Angelos luciférien comme conséquence.

- La naissance des idées de nationalité dues à l’inclinaison, par égoïsme social, vers l’Archange de son propre peuple.

- Introduction de forces cosmiques de destruction par suite de confusions à l’égard de ­l’Esprit du temps, et leur manifestation dans la décadence du corps physique, la maladie et la mort.

- Le chemin menant au Christ.

- Les discours des francs-maçons concernant les Mystères anciens.

- La force suggestive de la parole aux époques antérieures et sa dédivinisation progressive.

- Dépasser les limitations égoïstes grâce au Christ. La superstition négative de l’époque actuelle.

- À propos de ce qui se passe dans la machine à vapeur  : l’apparition d’un espace exempt d’air, une occasion pour les démons ahrimaniens de s’incorporer  ; «  opposition contre Iahvé  ».

- La technique moderne, une démonomagie.

- L’expansion de l’activité démoniaque dans l’espace cosmique par le fait d’intégrer les secrets des mouvements célestes dans la machine à vapeur.

- La nécessité de la démonomagie pour le progrès, mais aussi de créer des forces contraires, en trouvant le chemin menant au Christ.

 

Dixième conférence - Dornach, novembre 1916

 

- L’appartenance du Mystère du Golgotha au domaine de la mâyâ, vu son lien à l’espace et au temps, et la contradiction signifiante qui en résulte.

- Des étapes de la vénération de dieu dans l’histoire de l’humanité  : 1° le culte des ancêtres  : la manifestation des Archaï à travers les corps éthériques des ancêtres  ; 2° le polythéisme  : la vénération des Archangeloï  ; 3° le monothéisme  : la descente vers l’Angelos  : 4° le césarisme  : l’adoration de l’homme terrestre.

- L’entrée du dieu-homme, du Christ, dans l’histoire  ; son appartenance à toute la communauté humaine.

- Les intentions de Lucifer  : spiritualisation ascétique.

- L’introduction de la «  huitième sphère  » comme antidote des dieux  : le penchant de l’homme vers la nature inférieure et l’attirance de la Lune par la Terre, un corrélatif cosmique.

- La diffamation de Iahvé par Madame Blavatsky. Le triomphe sur toute différenciation terrestre par une véritable ­compréhension du Christ.

- Mithra et le Christ  : la nature inférieure se meurt sous Mithra, elle est délivrée par le Christ.

- La transformation de toute action en service divin  ; le développement du sacramentalisme dans l’éducation et dans l’activité de connaissance.

- La quête du spirituel dans les œuvres de Hermann Bahr, à l’exemple du drame Die Stimme.

- Expérimentations spirites des occultistes au xixe siècle  ; la retraite des occultistes sérieux.

- Des affirmations d’A. Besant et de Ch. Leadbeater.

- L’utilisation du spiritisme à des fins particulières occultistes.

- Description d’une tentative de conquérir la science au spiritisme  : le cas du savant Oliver Lodge. Le combat du spiritisme contre l’idée de la réincarnation.

 

Jean-Pierre Rossaut - 16/07/2021 - 18:08