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Steiner traite ici de nombreux aspects du thème de la profession.
- Que signifient, sur le plan karmique, les forces que l’homme consacre à son travail dans un monde dominé par la technique et la spécialisation ?
- Comment choisir un métier à notre époque ?
Les idées qu’il développe au long de ces réflexions sont pour le moins inattendues.
- La vie de Goethe, phénomène spirituel
- Le rapport de l’activité créatrice de l’homme et du travail professionnel avec l’ensemble de l’évolution de la terre
- La transformation de la vie professionnelle
- Le travail professionnel, germe de l’évolution du monde
- Profession et fonction
- La psychanalyse
- Le destin
- Les impulsions héréditaires et celles venues des vies antérieures
- L’action des confréries occultes
- Mme Blavatsky
- Ku Hung-Ming
- La vie de Galilée
- La dédivinisation du verbe
- La technique moderne, une magie démoniaque.
Première conférence - Dornach, novembre 1916
- Goethe, une personnalité caractéristique de la cinquième époque de civilisation postatlantéenne.
- Sa vie comme « phénomène spirituel » : la maison parentale, l’enfance et la jeunesse.
- Les études à Leipzig (rencontres de Gottsched et de Gellert).
- Maladie et étude d’écrits mystiques et occultes.
- Années d’études à Strasbourg, rencontres de Herder et de Jung-Stilling.
- Goethe l’avocat.
- La genèse du Götz von Berlichingen.
- L’époque de la sensibilité ; le travail sur Werther, un processus d’autoguérison.
- Goethe, ministre à Weimar. Le Urfaust.
- Madame de Stein et Iphigénie.
- Les conditions weimariennes et le Tasse.
- Goethe le scientifique ; l’os intermaxillaire.
- Le voyage en Italie, « renaissance de l’âme de Goethe » ; élaboration du style classique.
- L’amitié de Schiller.
- Le traitement du problème de la liberté dans les Lettres esthétiques et dans le Conte.
- Le discours philistin de Du Bois-Reymond : « Goethe sans fin ».
Deuxième conférence - Dornach, novembre 1926
- La considération de questions karmiques par rapport à la vie de Goethe (le danger d’un lien trop rapide entre la cause et l’effet dans ce domaine).
- L’harmonie de l’individualité de Goethe avec les événements de l’époque.
- Les exigences de l’époque, leur indépendance par rapport à l’individualité (exemples : la découverte de l’Amérique, le Faust).
- Les périodes résultant de différentes impulsions dans la vie de Goethe.
- La puissante force d’âme en Goethe et en Schiller et son épanouissement différent.
- L’importance karmique de la maladie de Goethe : le dégagement du corps éthérique et l’impulsion de connaissance suprasensible.
- La transformation des conditions biographiques de Goethe en œuvre d’art, sur la base de son isolement intérieur du monde, à l’exemple de sa relation avec Frédérique Brion.
- Les vues profondes dans le Faust, résultat de cet isolement ; la difficulté de comprendre les temps passés, à l’exemple de Sophocle et de ses drames.
- L’activité de ministre de Goethe, un sommeil partiel de l’âme.
- Son réveil en Italie, lié à sa conception globale de la nature ; sa présentation dans le Faust.
Troisième conférence - Dornach, novembre 1916
- À propos de la question de la différence entre les personnalités éminentes et le reste de l’humanité.
- Les trois parties du système nerveux ; leurs liens avec les éléments constitutifs de l’être humain pendant la veille et le sommeil : cerveau – corps éthérique (lien plus étroit pendant la veille) ; moelle épinière – corps astral, et système ganglionnaire – je (lien plus étroit pendant le sommeil).
- Lien plus fort avec le système ganglionnaire et de la moelle épinière pendant la veille, conséquence du corps éthérique dégagé chez Goethe.
- À propos de performances apparentes de l’entendement chez les animaux ; la Psychologie comparée de Carus.
- Le lien avec la sagesse universelle : chez l’animal, grâce au corps physique ; chez l’homme, grâce au corps éthérique.
- Le « ressentir de rêve avec l’environnement » de Goethe, basé sur sa constitution particulière ; la transformation de ces expériences dans ses œuvres, à l’exemple du Faust.
- L’immersion inconsciente de l’homme dans l’environnement spirituel, de jour, une base du travail professionnel.
- Ce qui est produit dans le travail professionnel : un germe de ce qui ne sera complètement développé que sur Vulcain ; les créations, fruits d’une évolution commencée sur Saturne, à l’exemple de l’activité de Jakob Böhme, cordonnier et philosophe.
Quatrième conférence - Dornach, novembre 1916
- Sonder la volonté des dieux comme base de la conduite des hommes des époques antérieures.
- Le chaos actuel, conséquence de l’émancipation de l’homme à l’égard de la volonté du cosmos.
- La création d’un premier germe de Vulcain par l’activité professionnelle.
- La spécialisation croissante des professions, une nécessité de l’évolution.
- Le lien du travail professionnel avec la vie émotive autrefois, le détachement de la vie professionnelle de l’intérêt humain aujourd’hui.
- Ce qui est produit par le travail professionnel, un point de départ de l’incorporation d’entités élémentaires.
- La nécessité de représentations spirituelles concrètes comme pôle opposé au travail professionnel.
- Des répercussions croissantes de la volonté et de la mentalité de l’individu sur ce qu’il a produit.
- La future transformation d’« émanations » humaines en force motrice.
- La dissolution des liens humanitaires, l’apparition de concurrence et d’appât du gain due au travail professionnel ; la science de l’esprit comme contrepoids.
- Les dangers de l’évolution purement extérieure.
Cinquième cnférence - Dornach, novembre 1916
- La différence à faire entre profession et fonction ; les influences ahrimaniennes sur le karma de la profession.
- À propos de la prétendue « sélection des meilleurs ».
- Exemples tirés de Faust II de l’action de la force méphistophélique dans la vie de l’humanité.
- Les erreurs résultant de l’étude scientifique de la vie psychique, à l’exemple de la recherche d’une « vase animale des profondeurs » de l’âme, en psychanalyse.
- Tenir compte des vies terrestres successives, une condition préalable au subconscient.
- L’« autocorrecteur » en l’homme ; son activité à l’exemple d’une vie du rêve (tiré du roman Auch Einer, de F. Th. Vischer).
- Le karma, un archet de violon jouant sur les quatre « cordes » des éléments constitutifs de l’être humain.
- La répercussion de la profession de l’incarnation précédente dans l’organisation corporelle du deuxième septénaire (élaboration du corps éthérique).
- Le jeu entre les forces modelantes du corps éthérique et les forces transformatrices du corps astral, expression de l’action du karma de la profession.
- Les répercussions du karma des relations d’une vie dans le corps physique modelant la situation de vie de l’existence suivante ; le Je, force restructurant la situation de la vie.
Sixième conférence - Dornach, novembre 1916
- À propos des circonstances de la vie importantes pour l’évolution d’une individualité, « fautives » seulement d’apparence, à l’exemple de la critique par une biographe de F. Th. Vischer concernant des manquements dans son éducation scolaire.
- La critique, une cruauté dissimulée.
- Les débuts d’une compréhension de l’époque de civilisation actuelle dans les écrits du technicien Max Eyth ; son approche des grandes questions liées au destin ; des exemples tirés de ses œuvres.
- Les descriptions d’un juriste promu directeur de théâtre (Max Burckhard), exemple de la vie moderne actuelle.
- Alfred baron de Berger et sa nouvelle, Hofrat Eysenhardt : l’aspiration d’un homme moderne à l’accès aux mystères de l’existence.
- L’observation symptomatique du monde et de la vie, une condition préalable à l’étude du karma, du destin.
- L’aspiration de communautés occultes concernant l’étude du caractère humain et le fait d’en garder le secret ; leurs influences sur des événements publics.
Septième conférence - Dornach, novembre 1916
- La question de l’hérédité et les septénaires.
- Les impulsions de la vie prénatale ainsi que de la vie précédente et la voie vers la profession nouvelle.
- Le déroulement cyclique de l’évolution universelle.
- La nécessité croissante d’une relation consciente avec le monde et avec l’esprit du temps.
- Les « idéaux » de l’époque de civilisation actuelle : le bourgeois (Ouest) et le pèlerin (Est).
- Admettre les vies terrestres successives : la condition d’une véritable compréhension de la vie.
- Des exemples d’une critique perspicace de l’époque : les affirmations de l’Anglais J. St. Mill et du Russe A. Herzen concernant l’apparition d’une « conglomerated mediocrity » et le chemin de l’Europe vers l’esprit chinois ; Mérejkovski.
- Les aspirations de sociétés occultes : rétention de la science de l’esprit, « embobiner » les humains par des concepts nébuleux, à l’exemple de « secrets numériques » apparents.
- Le combat entre les sociétés occultes, illustré par la vie de H-P Blavatsky. L’activité cachée de confréries occultes à l’extérieur ; des avertissements concernant les assassinats de François-Ferdinand et de Jaurès.
- Aspirations de la Theosophical Society ; Annie Besant.
- Les enseignements de Kou Hong Ming ; l’« esprit chinois de l’Europe », centre d’intérêt de courants occultes.
- Les confréries occultes et l’Église romaine ; l’encyclique du 8.12.1864.
Huitième conférence - Dornach, novembre 1916
- L’étude de multiples aspects des choses, une condition prélable pour saisir la vérité.
- Description de la biographie de Galileo Galilei de deux points de vue : 1° la destinée personnelle ; sa signification pour la vie entre la mort et une nouvelle naissance. 2° Récit de ce qui est signifié dans l’histoire par le nom de « Galilei »
- La question de l’hérédité physique, considérée à l’aide de prédispositions héréditaires égales et des conditions héréditaires de la famille des musiciens Bach.
- Les conceptions matérialistes du XIXe siècle, à l’exemple du livre de Leblais, Matérialisme et spiritualisme, à propos de la prétendue équivalence entre l’âme d’un animal et celle de l’homme ; une citation concernant des actes apparemment religieux d’animaux.
- La description des répercussions sociales du matérialisme dans le roman Der rechte Liebhaber des Schicksals d’Albert Steffen.
Neuvième conférence - Dornach, novembre 1916
- Les reproches des théologiens modernes concernant l’enseignement sur les hiérarchies.
- Étude de la représentation de Dieu courante aujourd’hui : interpréter son propre Angelos comme Dieu universel ; assourdissement des âmes et substitution de l’Angelos par l’Angelos luciférien comme conséquence.
- La naissance des idées de nationalité dues à l’inclinaison, par égoïsme social, vers l’Archange de son propre peuple.
- Introduction de forces cosmiques de destruction par suite de confusions à l’égard de l’Esprit du temps, et leur manifestation dans la décadence du corps physique, la maladie et la mort.
- Le chemin menant au Christ.
- Les discours des francs-maçons concernant les Mystères anciens.
- La force suggestive de la parole aux époques antérieures et sa dédivinisation progressive.
- Dépasser les limitations égoïstes grâce au Christ. La superstition négative de l’époque actuelle.
- À propos de ce qui se passe dans la machine à vapeur : l’apparition d’un espace exempt d’air, une occasion pour les démons ahrimaniens de s’incorporer ; « opposition contre Iahvé ».
- La technique moderne, une démonomagie.
- L’expansion de l’activité démoniaque dans l’espace cosmique par le fait d’intégrer les secrets des mouvements célestes dans la machine à vapeur.
- La nécessité de la démonomagie pour le progrès, mais aussi de créer des forces contraires, en trouvant le chemin menant au Christ.
Dixième conférence - Dornach, novembre 1916
- L’appartenance du Mystère du Golgotha au domaine de la mâyâ, vu son lien à l’espace et au temps, et la contradiction signifiante qui en résulte.
- Des étapes de la vénération de dieu dans l’histoire de l’humanité : 1° le culte des ancêtres : la manifestation des Archaï à travers les corps éthériques des ancêtres ; 2° le polythéisme : la vénération des Archangeloï ; 3° le monothéisme : la descente vers l’Angelos : 4° le césarisme : l’adoration de l’homme terrestre.
- L’entrée du dieu-homme, du Christ, dans l’histoire ; son appartenance à toute la communauté humaine.
- Les intentions de Lucifer : spiritualisation ascétique.
- L’introduction de la « huitième sphère » comme antidote des dieux : le penchant de l’homme vers la nature inférieure et l’attirance de la Lune par la Terre, un corrélatif cosmique.
- La diffamation de Iahvé par Madame Blavatsky. Le triomphe sur toute différenciation terrestre par une véritable compréhension du Christ.
- Mithra et le Christ : la nature inférieure se meurt sous Mithra, elle est délivrée par le Christ.
- La transformation de toute action en service divin ; le développement du sacramentalisme dans l’éducation et dans l’activité de connaissance.
- La quête du spirituel dans les œuvres de Hermann Bahr, à l’exemple du drame Die Stimme.
- Expérimentations spirites des occultistes au xixe siècle ; la retraite des occultistes sérieux.
- Des affirmations d’A. Besant et de Ch. Leadbeater.
- L’utilisation du spiritisme à des fins particulières occultistes.
- Description d’une tentative de conquérir la science au spiritisme : le cas du savant Oliver Lodge. Le combat du spiritisme contre l’idée de la réincarnation.