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Un monde de paix - Vol 3 - Se libérer du moi

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Un monde de paix - Vol 3 - Se libérer du moi

Auteur : KRISHNAMURTI Jiddu
Aux éditions : Innerquest
Prix : 21.50 €
Disponibilité : à commander
 

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Description

Causerie publique à Brockwood Park en Angleterre le 3 septembre 1983

- Quelle est la source, l'origine de toute création ?

La découverte de la fin du contenu de la conscience [blessures, peurs, idées, plaisirs, souvenirs...] demande une investigation extrêmement profonde. Il faut prendre garde aux expériences, car en fait il n'y a rien à expérimenter. La pensée étant un processus matériel et égocentrique, elle ne peut que produire un résultat limité et conflictuel. Le soi, la psyché, la personne est le contenu de notre conscience, notre conditionnement, la structure du savoir. Il n'est pas nécessaire d'explorer les diverses formes de peur, mais de découvrir la nature de la peur.

 

- Les causes de la peur seraient-elles la pensée, le savoir, le désir, et le temps, c'est-à-dire le mouvement de 'ce qui est' vers 'ce qui devrait être' ?
Si l'audience attend des réponses de l'orateur, il ne peut y avoir de réelle investigation, cela en raison de l'habitude d'être instruit par un autre.

 

- Nous sommes tous si désireux d'agir, mais ici sommes-nous capables d'observer simplement, sans réaction, ni objection ni sentiment de faire quelque chose ?

- Pourquoi y a-t-il souffrance et peut-elle avoir une fin ?

Partout dans le monde, chaque être humain souffre. Bien que les objets de la souffrance varient entre les êtres, la souffrance elle-même est identique chez chacun. Lorsqu'un être humain comprend la nature de la souffrance et la dépasse, il est alors le reste de l'humanité.

 

- La mémoire, avec ses souvenirs d'êtres chers disparus etc., [donc le passé ; le temps] est souffrance, mais peut-elle prendre fin ?

- Le soi, le moi, l'ego avec toute l'activité centrée sur soi, basée sur la mémoire, peut-il prendre fin ?

Ce qui met fin est une observation ouverte, sans réaction de la mémoire au moment où elle surgit, cela en révèle la nature. On doit se sentir libre d'explorer d'une façon non basée sur quoi que ce soit. La mort, le fait de mourir en fait partie.

 

Durée totale : 67:00
 

Jean-Pierre Rossaut - 29/04/2020 - 10:15